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Taxe sur les produits nocifs à l'environnement.

Les Québécois disent OUI.

Québec, le 8 mars 2007.  La dernière enquête de l'IRB (Indice relatif de bonheur) révèle que les Québécois, dans une proportion de 73%, se disent d'accord avec l'idée d'imposer une taxe environnementale aux produits qui sont nocifs à l'environnement. Seulement 9% s'y opposent.

Cette donnée vient en confirmer plusieurs autres diffusées par l'IRB à l'effet que l'environnement s'impose comme une véritable préoccupation pour ne pas dire une obsession ainsi qu'un enjeu majeur pour les prochaines années.

La préoccupation environnementale semble donner des ailes au bonheur des individus, l'IRB moyen des personnes favorables à une taxe environnementale étant de 78,30, cinq points au-dessus de l'IRB de ceux qui se disent en désaccord.

La dette du Québec : pas de solution miracle !

La même enquête de l'IRB démontre que la dette, aussi préoccupante qu'elle soit, ne possède pas le même «capital de sympathie» que l'environnement. Ainsi, seulement 32% des Québécois seraient disposés à payer un montant additionnel d'impôt pour la diminuer alors que 65% ne veulent pas payer un sous de plus pour éponger ou diminuer la dette nationale.

- Disposé à payer 100$ d'impôt de plus par année pendant 5 ans  27%
- Disposé à payer 500$ d'impôt de plus par année pendant 2 ans  5% 
- Pas disposé a payer un sous d'impôt de plus que présentement  65%

Encore une fois, la volonté de vouloir enrayer la dette le plus rapidement possible aurait des répercussions positives sur le bonheur des gens car l'IRB moyen de ces personnes est de 2 à 5 points supérieurs à celui des autres.

Les impôts : un juste équilibre !

Dans le même souffle, les résultats de l'IRB démontrent que le quart (25%) des Québécois seraient favorables à une diminution des impôts en assumant une diminution conséquente des services de la part de l'état, alors que le tiers (33%) s'y opposent et 42% se montrent plus ou moins favorables à une telle idée.

L'IRB Québécois en hausse pour un deuxième mois consécutif !

Par ailleurs, après avoir connu un creux à 74,70 en décembre dernier, l'IRB Québécois moyen de février se situe maintenant à 76,80, en hausse de 0,90 point sur celui de janvier.

Il est à noter que les personnes âgées de 65 ans et plus conservent leur titre de personnes les plus heureuses et les femmes affichent un parcours sans faute depuis la création de l'IRB, celui-ci étant, pour un quatrième mois consécutif, supérieur à celui des hommes (77,90 vs 75,70).

Les personnes qui vivent seuls ont encore une fois le bonheur difficile avec une IRB de 71,10 alors que l'écart entre les personnes affichant les plus faibles revenus (72,20) et celles déclarant les plus hauts revenus (82,40) n'a jamais été aussi élevé (10,20 points).

Pour tout savoir sur les résultats de la dernière enquête de l'IRB, consultez le site www.indicedebonheur.com
(Veillez, dans la mesure du possible, mentionner la référence et le site internet dans vos reportages).

Cette enquête a été réalisée entre le 28 janvier et le 28 février auprès de 1604 répondants, ce qui lui confère une marge d'erreur de 2,9%. 

L'IRB (Indice relatif de bonheur) s'impose de plus en plus comme un Observatoire social qui explore et détermine les caractéristiques, attitudes, attributs et comportements qui favorisent l'amélioration du bonheur des collectivités et de ceux et celles qui la composent.

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Source :
Pierre Côté, IRB*
*L'IRB est une marque déposée appartenant à Côté communication conseil

Information et entrevues :
Jean-Sébastien Brousseau 
jsb.comm@gmail.com
(418) 953-4749