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Published January 7th 2011
On n'arrête pas de parler de santé et forme physique ces jours-ci. Des reportages, des articles qui démontrent que les Canadiens ne bougent pas, qu'ils mangent mal (j'inclus les Québécois). Rien de vraiment nouveau.
Mais derrière cette incitation à bouger, s'entraîner, il a deux éléments essentiels dont on ne parle jamais. Le premier, ou le deuxième, c'est selon, c'est le plaisir. Foglia dans La Presse décrit mieux que quiconque la notion essentielle de plaisir associée à toute forme d'entraînement.
Le second, c'est la priorisation dans sa vie, dans son horaire, de l'activité physique. Sans cette priorité accordée à l'entraînement, point de salut. Les meilleures intentions du monde ne durent pas trois mois.
Et pour vous convaincre de l'importance de l'activité physique, de son influence même sur le niveau de bonheur des gens, je vous invite à consulter les articles en page d'accueil de l'IRB. Vous découvrirez également que les Québécois s'estiment davantage heureux qu'en santé. Imaginons alors leur niveau de bonheur s'ils étaient plus en forme et toutes les répercussions d'une telle amélioration sur l'ensemble de la société et des services, en santé principalement, qu'elle doit offrir.
C'est simple, on mange trop et mal. On ne bouge pas assez. Trop de calories in, pas assez de calories out. Un rapide coup d'oeil sur le palmarès des mauvaises habitudes que l'on voudrait changer vous en convaincra.