Où sont les "Che Guevara" des patrons?

Peut-être qu'ils ou qu'elles se cachent, derrière leur habit/cravate ou leur tailleur foncé, à l'abri des attaques sournoises, attendant le moment propice pour se manifester? Ils et elles ont des convictions, des idées, des projets. Ils et elles croient qu'à titre d'employeurs, ils ont l'opportunité, le privilège même, d'agir et d'influencer positivement le niveau de bonheur de leurs employés, pour le plus grand bien des uns comme des autres? Mais ils hésitent. Malgré leur audace, leur détermination et leur volonté, ils et elles se butent souvent à un mur de résistance, d'indifférence, de moqueries presque. Se préoccuper du bonheur des employés qu'ils se font dire! "Mais quelle farce, quelle ineptie! Déjà qu'on les paye ces employés, faudrait en plus s'occuper de leur bonheur! Et puis le bonheur, ça se calcule? Comment? Et pis, si on évalue le niveau de bonheur des employés et que ce résultat s'avère décevant, de quoi vais-je avoir l'air, moi, le super administrateur? De celui que les employés ne sont pas heureux? Non. Jamais dans cent ans. Moi, tout ce qui m'importe, ce sont des chiffres, des résultats, des signes de piastre, point à la ligne". Mais le temps est maintenant venu d'agir. Les Che Guevara des affaires ont dorénavant un outil révolutionnaire. Une véritable petite bombe qu'ils peuvent introduire, tout doucement ou subitement dans leur entreprise. Évidemment, si le grand patron est un borné de la pire espèce, mieux vaut oublier la révolution, mais s'il existe une petite ouverture, une faille dans sa carapace, c'est le temps de frapper, de marquer des points, de gagner du terrain et s'approcher de l'objectif, celui de s'attaquer et d'améliorer le bonheur au travail des employés. L'IRB lance aujourd'hui IRB au travail. Une révolution . . . Heureuse et rentable. Un outil web inédit et contemporain. Je vous invite à y jeter un il et à consulter le rapport démo. Vous serez estomaqué.