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Le p'tit bonheur d'être fan!

Le p'tit bonheur des fan!

Au-delà de la rivalité Canadiens/Nordiques, la grande question que cherchait à connaître l'IRB était de savoir si le fait d'être fan d'une équipe de sport professionnel contribuait au bonheur.

Et bien il semble que oui, mais très légèrement, l'IRB moyen des fans étant légèrement, mais systématiquement supérieur à celui des personnes qui ne le sont pas. Ces données démontrent une fois de plus la corrélation entre le fait de s'identifier à quelque chose (un groupe, un mouvement, un parti, une cause, etc.) et son niveau de bonheur. L'être humain à besoin de croire et la foi, peu importe la forme qu'elle prend, est, d'une certaine façon, salvatrice.

Et les fans les plus heureux, ils sont 11%, sont ceux de l'impact de Montréal, avec un IRB moyen de 82,00 alors que les moins heureux seraient, hypothétiquement, ceux des Nordiques avec un IRB moyen de 78,90.

Alouettes et Rouge et Or

L'enquête nous révèle également que 24% des répondants se réclament des fans des Alouettes de Montréal et que cette proportion de fans est presque 3 fois plus élevée chez les hommes que chez les femmes (34% vs 13%), qu'elle croît avec l'âge et qu'elle atteint 44% chez les personnes qui affichent les plus hauts revenus (80 000$ et plus).

Signe tangible de l'incroyable popularité du Rouge et Or football de l'Université Laval, 14% des répondants se disent des fans de cette équipe, proportion qui atteint même 31% pour la ville de Québec et 20% dans l'est de la province.

IRB comparatif entre les fans et les non fans des équipes sportives