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Elle arrive dans moins de 10 jours la fête des amoureux. Mais, est-ce bien la fête des amoureux ou une espèce de pression sociale et surtout commerciale qui a le don de nous faire sentir coupable ou quétaine dépendant de ce que l'on décide de faire? Les avis sont très partagés et les femmes, beaucoup plus que les hommes, considèrent la St-Valentin comme une occasion de stimuler la passion du couple. Ah, les femmes et leurs émotions. Elles ne s'en éloignent jamais trop. Moi, je le dis sans détour, je n'aime pas la St-Valentin. Je n'aime pas qu'on m'oblige à démontrer mon amour ou mon affection à un moment précis, à une date donnée. Çà sent l'artificiel et les fleurs en plastique à plein nez.  Je n'aime pas me sentir coupable de ne pas souligner cette fête. Je n'aime pas me justifier de ne pas me retrouver, avec tous les autres, au restaurant alors que j'en avais pas vraiment envie. Où est la spontanéité, la surprise, l'étonnement, le débalancement lorsqu'on annonce une semaine à l'avance que le train arrive. Non, moi, je préfère, et de loin, jouer la carte de la surprise et arriver, sans raison, à n'importe quel moment, avec quelque chose qui la séduira et la fera un peu capotée. La St-Valentin, non merci!