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Published February 11th 2011
Eh oui! Elle est de retour, comme à chaque année. Qu'on l'aime ou non. La Saint-Valentin, comme vous le lirez dans l'article publié par l'IRB en 2008, est loin de faire l'unanimité, mais le bonheur semble loger chez ceux, et surtout chez celles qui affichent de l'enthousiasme pour cette fête.
Ce qui m'énerve et m'horripile par-dessus tout de ces fêtes artificielles, c'est de me voir placé dans une situation d'obligation imposée par la société de consommation. Tellement convenu et télécommandé. Ben oui, on va en acheter des fleurs. La paix à toujours un prix et personne n'aime passer pour un « cheap ».
La donnée que j'aime cependant et qui se situe à l'opposé de la Saint-Valentin, c'est celle qui démontre un écart de 27 points de l'Indice de bonheur (IRB) entre les personnes qui affirment surprendre souvent leur conjoint(e) avec de petites attentions non prévues vs celui des personnes qui ne le font jamais (83,90 vs 56,90). Vingt-sept points, c'est énorme et ça démontre bien tout l'impact de la surprise et de la spontanéité.
Alors, si vous voulez vraiment faire plaisir à votre conjointe, acheté lui donc des fleurs le 23 janvier, ou le 19 mars. Même chose pour les femmes envers votre chum. L'effet en sera décuplé par rapport au traditionnel cadeau de la Saint-Valentin . . . pis ça vous empêche quand même pas de fêter le 14 si le coeur vous en dit.