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Voter demeure encore la meilleure façon de s'exprimer démocratiquement et de donner une voix aux valeurs et principes que nous défendons. L'IRB a été créé, entre autre, pour faire du bonheur une variable qui compte lorsque vient le temps d'évaluer une société ou une collectivité et pour fournir le maximum d'information afin d'aider nos dirigeants à prendre des décisions favorisant la notion de bonheur. À la lumière des données recueillies depuis 2 ans (plus de 400 questions posées) et de l'analyse qui en a été faite, il apparaît évident que les politiques de Québec Solidaire sont les plus porteuses en ce qui à trait à l'amélioration du bonheur de la société québécoise. C'est simple, elles placent l'humain au devant et favorisent le collectif au détriment de l'individuel. Bien sûr, si je suis un brin individualiste (c'est le cas, malheureusement, de la grande majorité), que j'ai des revenus largement au-dessus de la moyenne, et que je démontre bien peu d'empathie pour les moins bien nantis, les politiques de Québec Solidaire ne m'atteignent pas ou peu. Pour moi, Québec Solidaire représente la seule façon de solutionner, du moins en partie, un paradoxe qui me hante qui est le suivant: «L'amélioration des conditions individuelles des gens se fait presque toujours au détriment des conditions de la collectivité dans laquelle ils évoluent». S'il est normal et légitime que chacun cherche à améliorer son sort, mais que, au fur et à mesure qu'il y arrive, il se désintéresse progressivement (et inconsciemment) de ceux qui n'y parviennent pas, il faut des dirigeants qui aient cette sensibilité et qui proposent des politiques qui éviteront de créer de trop grands fossés. C'est une simple question de bonheur...collectif. Pour ces raisons, je voterai Québec Solidaire.