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Être ou paraître?

 Être ou paraître?

Plus facile à dire qu'à faire, bien sûr, mais tellement plus profitable. Dans la même foulée que l'article précédent, il ne s'avère pas vraiment profitable, en ce qui à trait au bonheur à tous le moins, d'accorder trop d'importance à ce que les gens pensent de nous.
C'est un aspect que nous ne contrôlons aucunement, mais qu'à cela ne tienne, plus de la moitié des Québécois (56 %) accorde une importance considérable à ce que les gens pensent d'eux alors que seulement 12 % n'accordent peu ou pas d'importance à l'image ou la perception qu'ils projettent, ce qui semble rejaillir directement dans l'évaluation qu'ils font de leur niveau de bonheur.

On dit qu'une image vaut mille mots, alors voici un graphique qui nous incite à se concentrer davantage sur nous plutôt que sur les autres sur lesquels nous n'exerçons aucun contrôle.

Variation de l'IRB en fonction de l'importance accordée à ce que les gens pensent de nous

Variation de l'IRB en fonction de l'importance accordée à ce que les gens pensent de nous

Et est-ce l'influence de la société ou le fait d'avoir une image publique à défendre, mais l'importance accordée à ce que les gens pensent de nous augmente avec le niveau de scolarité des répondants ainsi que leurs revenus.