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Une promesse non tenue?

La question était on ne peut plus claire : « Globalement, avec toutes ces plates-formes d'échanges et de rencontres et ces appareils de communication, croyez-vous que cela contribue à rendre les gens plus proches les uns des autres »?

Le verdict est sans équivoque : NON. Les répondants sont trois fois plus nombreux à prétendre que non plutôt que oui (43 % vs 15 %). Et ce constat ne varie que très peu d'un segment de la population à un autre. Même les jeunes sont à peine plus nombreux à penser que oui.

Seule note positive, les personnes qui pensent que oui affichent un IRB moyen de presque 4 points plus élevés que ceux qui affirment que non (82,30 vs 78,90). Comme quoi l'optimisme et le positivisme (on pourrait parler aussi plus globalement de la foi ou de la croyance en quelque chose) contribuent toujours positivement à l'évaluation se son niveau de bonheur.

On n'arrête pas le progrès

La technologie n'est plus un phénomène, mais plutôt un élément de la vie de tous les jours, une dimension avec laquelle l'humain compose et continuera de le faire. Les limites sont constamment repoussées et elles ne semblent pas nous effrayer outre mesure. La fiction d'aujourd'hui sera la réalité de demain.

Ainsi, plus de la moitié des répondants (54 %) croît « qu'un jour, pas si lointain, l'on pourra introduire une puce électronique à l'intérieur du corps humain qui remplacera une partie des actuels appareils et gadgets électroniques ».

Et cette puce sera assurément populaire, car imaginez qu'il y en a 23 % qui seraient prêts à se la faire poser demain si cette puce existait et s'avérait efficace et sans danger.

Évidemment, les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à se montrer volontaires (30 % vs 15 %) ce qui démontre aussi la plus grande intégrité et le plus grand respect qu'entretiennent les femmes par rapport à leur corps.